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 Un professeur nain-pitoyable

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3 participants
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Volstein Von Stern

Volstein Von Stern


Age : 72
Messages : 17

Feuille de personnage
Race: Autre
Groupe: Mage

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MessageSujet: Un professeur nain-pitoyable   Un professeur nain-pitoyable Empty21.08.14 22:35

Volstein Von Stern


Un professeur nain-pitoyable 395449Bannire
Identité.
Nom : Von Stern
Prénom : Volstein
Surnom : Le Bougre
Age : 61 ans
Pays : Wurtzburg, Allemagne
Race : Naine
Groupe désiré : Mage
Spécialité (Pour les professeurs et membres du staff uniquement) : Sorcier
Profession : Professeur
Familier (Pour les professeurs et membres du staff uniquement) : Ecrire ici.



Je suis ici pour :
Pour mieux vous connaître :

Matière Enseignée (UNIQUEMENT LES PROFESSEURS) : Potion

Options obligatoires choisies (UNIQUEMENT ÉLÈVES) : Potions, Rituels magiques, Divination, Sortilèges, Invocation, Soins aux Familiers, Tactique et stratégie, Combat armé, Combat à mains nues, Espionnage et discrétion.

Option(s) facultative(s) choisie(s) (UNIQUEMENT ÉLÈVES) : Potions, Rituels magiques, Divination, Sortilèges, Invocation, Soins aux Familiers Tactique et stratégie, Combat armé, Combat à mains nues, Espionnage et discrétion.

Option Langue choisie (UNIQUEMENT ÉLÈVES) : Français, Anglais, Allemand, Italien, Russe, Espagnol, Chinois, Japonais, Latin, Grec.

Source de l'avatar : Altessa de Tales of symphonia



Un professeur nain-pitoyable 395449Bannire
Qui je suis ?
De quoi j'ai l'air.

Description physique :
Volstein Von Stern, c'est cent quarante-cinq centimètre et cinquante-six kilo de chair, de poils et de mauvaise humeur. Son crâne est lisse comme un galet et dur comme du granite. Nul dans l'école n'a jamais vu son vrai visage, qui demeure enfoui sous une masse inextricable de cheveux, moustaches et barbes, rendue blanche et hirsute par l'âge, le travail, et divers shampooings prévus spécialement à cet effet. Enfoui sous une éternelle robe de chambre grise à ourlets oranges, son corps est court et robuste comme un baobab, et à peu près aussi gracieux lorsqu'il marche. A cause de ses cors au pieds, il porte en permanence de vieux chaussons de satin gris qu'il a lui-même ferré et serti d'éperons afin qu'ils fassent le plus de bruit possible quand il marche. Il a une voix grave et désagréable, rendue éraillée par l'alcool, le tabac, et divers shampooings prévus spécialement à cet effet. Il grommelle souvent, parle peu, crie quelque fois mais s'arrête vite car ça le fait tousser.
Et le plus abominable : il pue.

Et au fond.

Description psychologique :
Lorsque l'on mesure trois têtes de moins que la plupart des gens, il faut savoir imposer sa présence. Volstein Von Stern sait le faire de la plus désagréable des façons. Ce n'est pas qu'il déteste les gens ; simplement, il les trouve envahissants : si par malheur on se laisse aller à se montrer sympathique envers eux... crac ! Ils commencent à vous saluer dans les couloirs, puis il faut leur dire bonjour, s'asseoir à leur table à midi, leur rendre visite le premier de l’an, servir de témoin à leur mariage... C'est pourquoi Volstein déploie des efforts monstrueux pour que sa simple apparence décourage les gens de lui parler, et il réussit si bien qu'il n'a pas besoin, la plupart du temps, de se montrer désobligeant. Au quotidien, il est d'une courtoisie sans faille avec les élèves et les professeurs, sans que cela suffise à attirer leur sympathie. Il manque en revanche de patience, et lorsque quelque chose le contrarie, il ne retient pas ses remarques salées.
Il se force à fréquenter ses collègues, ne serait-ce que par respect pour eux, et parce que ça lui donne une bonne occasion de dire du mal des élèves derrière leur dos. Mais ce qu'il affectionne, c'est de retourner dans son laboratoire après les cours pour travailler sur ses précieuses fioles. Malgré son attitude désagréable, Volstein Von Stern est en effet un redoutable alchimiste qui a déjà mis au point une bonne centaine de philtres, potions et shampooings magiques, le plus souvent en secret et pour un usage exclusivement personnel. Comme ça, si ça pète, ça ne regarde que lui.

D'où je viens.

Histoire :
"Tu seras magicien, mon fils ! Tu reprendras la mithrilerie de ton père, et tu seras la fierté de ta famille !"
Ainsi parlait Balthazar Von Stern, directeur de la plus grande manufacture de mithril de Bavière, lorsque Volstein, agée de 15 ans, entra en apprentissage de magie runique. Une semaine et plusieurs millions d'euros de dégâts plus tard, il était évident que Volstein Von Stern ne serait pas magicien, et que pour la mithrilerie et la fierté, il faudrait compter sur quelqu'un d'autre. Son père ne se découragea cependant pas, et la vie de Volstein se transforma rapidement en une série de courts épisodes commençant toujours par son introduction auprès d’un illustre magicien, et se terminant toujours par la destruction d’un illustre laboratoire. Car Volstein ne semblait avoir qu’un seul talent en matière de magie, celui de changer n’importe quel sortilège en explosion juste en pensant à autre chose. Von Stern père, qui était un visionnaire dans le domaine de l’industrie minière, avait en revanche quelques siècles de retard concernant l’éducation des enfants ; il attribua les échecs de son fils à un manque de discipline personnelle, et pensa qu’un an de service militaire suffirai à le mettre au pas. Volstein passa donc trois cent jours sous les ordres du sergent Rümmer, dont la petite amie – pour le malheur de Volstein – l’avait quitté pour un nain plus riche et plus poli. Ce dernier se vengea sur le nouveau venu, qui passa les deux tiers de son année à la corvée de cuisine. C’est là que Volstein découvrit trois choses qui devaient avoir un impact décisif sur sa vie : l’alcool, le tabac, et comment remplacer le choux par de la mandragore dans potée du sergent pouvait avoir des résultats tout à fait divertissants. Il multiplia les expériences « culinaires » et à son retour du camp, ses connaissances en cuisine lui firent envisager la magie sous un nouveau jour : à savoir que, tant que ça se passe dans un chaudron, ça ne peut pas être bien sorcier. Il se lança alors dans l’alchimie, et fit plusieurs découvertes sur les propriétés des métaux magiques, ce qui ravit son père et lui permis d’acquérir de bonnes places dans le monde de l’industrie magique ; à l’époque, tous les métallurgistes recherchaient des nains, d’autant plus s’il pratiquait la magie. Volstein erra donc pendant une vingtaine d’année dans les hautes sphères de l’économie, à fréquenter les riches magnats du mithril ; il en ressortit dégoutté par leur hypocrisie, leur bien-pensance et leur recherche permanente du profit. Il finit par s’exiler en France, où il vécut quelques années tranquilles dans le luxe que sa position lui avait permis d’obtenir. Il eut beaucoup de succès dans les milieux riches, ce qui lui permit d’avoir trois femmes et une pléthore d’amis choisi parmi le gratin de la société. Mais il ressentit bientôt le même écœurement que celui qui lui avait fait quitter l’Allemagne : les gens qu’il fréquentait ne le considéraient qu’à travers sa position sociale, et n’avaient de sympathie que pour sa fortune. Plus le temps passait, plus il devenait aigri. Il finit par envoyer tout le monde paître, et englouti le reste de sa fortune dans un laboratoire personnel, où il resta enfermé de nombreuses années à inventer ses propres potions magiques. On lui doit notamment la découverte de la Potion de Désaltération (une seule goutte désaltère autant qu’une carafe d’eau), de la Crème Lunaire (pour lycanthropes), et de la Pierre Philosophique (elle change le plomb en or, mais quiconque tente de s’en servir réalise instantanément que l’argent ne fait pas le bonheur, et renonce à son projet). Malgré le succès de ses inventions, sa misanthropie lui interdit de jamais commercialiser ses inventions, et il se retrouva bientôt à cours d’argent pour poursuivre ses recherches. Alors quand la première grande école de magie lui proposa un poste comme professeur de potions, avec un bon salaire et un nouveau laboratoire, Vostein Von Stern mis temporairement sa haine des gens de côté. Du moins, pendant les heures de cours.

Un petit mot pour conclure ?

Abrabracadabra.
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MessageSujet: Re: Un professeur nain-pitoyable   Un professeur nain-pitoyable Empty26.08.14 19:29

Validé vieux grigou
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MessageSujet: Re: Un professeur nain-pitoyable   Un professeur nain-pitoyable Empty26.08.14 19:32

J'allais le dire...
Par contre, penses à préciser les DC !
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Arya Lalwon

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MessageSujet: Re: Un professeur nain-pitoyable   Un professeur nain-pitoyable Empty26.08.14 22:57

Bienvenue le nain !! xD
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MessageSujet: Re: Un professeur nain-pitoyable   Un professeur nain-pitoyable Empty

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