[left][b]Nom :[/b] De Saint-Cyr
Prénom : Anne-Amaryllis
Surnom : Ama
Age : 40 ans
Pays : Versailles, France
Race : Humaine
Groupe désiré : Guerrier
Spécialité (Pour les professeurs et membres du staff uniquement) : Combattant
Profession : Professeur
Familier (Pour les professeurs et membres du staff uniquement) : Aucun[/left]
Pour mieux vous connaître :
Matière Enseignée : Combat armé
Source de l'avatar : image google
[b]Description physique :
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Anne-Amaryllis est loin d'être une femme imposante au premier abord, elle mesure 1m72, à peine en dessous de la moyenne et possède des formes naturellement avantageuses qu'elle a réussit à maintenir grâce à une hygiène de vie stricte et une activité physique débordante. Tout les hommes qui ont eu l'audace de lui demander ses mensurations (souvent en pouffant d'un rire idiot) ce sont vue mitrailler la même réponse franche et sévère « 80-70-80 ».
Mais ce corps très féminin cache une musculature de panthère, élégante et mortelle. Son visage a depuis longtemps perdu les rondeurs de l'enfance et semble être fait de marbre plutôt que de chaire, le seul élément qui trahit parfois ces émotions sont ses yeux gris perle et sa bouche pâle qu'on imagine mal pouvoir esquisser un sourire (pourtant à tort). Ces longs cheveux, souvent contraints par des pinces ou des élastiques, sont d'un sombre rouge sang et ont une forte tendance à rebiquer dans toutes les directions possibles et imaginables.
[b]Description psychologique : [/b]
Anne-Amaryllis est dépositaire d'un véritable tempérament de guerrière, aussi dure et franche que de l'acier. Intransigeante et têtue, elle ne comprend pas qu'un élève puisse manquer de motivation dans son cours et attend de tous une implication sans faille, et malheurs à celui qui cherchera à lui tenir tête ou qui voudra lui donner une autre excuse pour une absence que la mort de toute sa famille. Elle est particulièrement exigeante envers les filles, et a même inconsciemment tendance à les pousser bien plus loin que leurs camarades masculins.
En retour Anne-Amaryllis ne compte ni son temps ni son argent en ce qui concerne ses élèves,
il n'est pas rare qu'elle revienne les week-ends ou après les heures de cours pour aider les élèves qui en feraient le demande. Elle a aussi fait dont à l'académie de la plupart des armes utilisées pendant les cours, ce qui explique son implacable dureté envers les élèves qui auraient le malheur de mal entretenir, ou pire, abimer les armes prêtées durant les cours.
En revanche, Anne-Ama possède aussi une face cachée qui ne se révèle qu'une fois rentré chez elle et dans les bras de son époux, Tal'Heisim un elfe sylvestre originaire de la région de Cardiff au Pays-de-Galle. Celle d'une femme aimante qui peut passer des heures en silence au côtés de son âme sœur alors qu'ils polissent tendrement les armes de l'autre, ou qui peut rester des dizaines de minutes en extase devant sa petite fille, Maria, en détaillant à quel point elle est adorable et à qu'elle point elle deviendra une « guerrière aussi doué que sa mère et son père réunis ». Ce qui, étant donné les jeux auxquelles la petite fille de 3 ans s'adonne déjà, est plus que probable.
[b]Histoire :[/b]
Unique héritière de la famille Saint-Cyr, Anne-Amaryllis a été élevé au sein d'une famille où la tradition militaire côtoie la noblesse depuis plusieurs siècles. Elle a eu la chance d'être élevée par des parents unis et aimants, bien que très peu démonstratifs et dont elle reste proche. Encore aujourd'hui elle considère son père, Armand de Saint-Cyr, comme son confident et son maître dans le maniement des armes. Elle passa toute son enfance à courir les champs et les forêts de la propriété familiale avant de trouver un bien meilleurs moyen de canaliser son énergie: la maîtrise de l'escrime. L'enseignement qu'elle reçu à la fois de son père et de ses différents professeurs lui permit à 17ans de maîtriser toutes les armes occidentales, de la fine dague à la hache de guerre, ainsi que de se forger un caractère franc et sévère, férocement attaché à des valeurs telles que la noblesse et l'honneur.
Malheureusement sa forte personnalité ne fut absolument pas compatible pour son "entrée dans le monde". En effet, les opinions souvent très tranchées d’Anne-Ama et son acharnement à répondre en moins de trois mots aux questions de ses interlocuteurs eurent vite fait de désespérer les cercles mondains du tout Paris. Invariablement, la jeune femme finissait la soirée au mieux en tête à tête avec sa flûte de champagne, ou au pire, avec un hiérarque monologuant. Lassée et déprimée par ses échecs successifs, Anne-Amaryllis décida de tout laisser tomber pour entreprendre une retraite de plusieurs mois dans les bois de Vincennes et de Boulogne. Mais la jeune femme, d’abord partie comme ascèse fut vite détournée de sa vocation pour devenir tour à tour guerrière errante, garde forestier auto-proclamée et enfin membre d’une secte bachique.
C’est suite à l’une de ces bacchanales forestières qu’elle arriva finalement au bout de la pente et se décida à rentrer chez elle. Réveillée au petit matin par le mal de crâne et quelques pigeons libidineux, celle-ci avait trouvé ses cheveux auparavant noirs teintés d’une couleur écarlate non seulement peu naturelle mais surtout... définitive. Refroidit par le désastre capillaire, Anne-Ama se décida la mort dans l’âme à rentrer chez ses parents et à ne plus jamais toucher à une goutte d’alcool de sa vie. La première résolution fut beaucoup plus facile à tenir que la deuxième, qu’elle finit d’ailleurs par amender pour la remplacer par par la promesse solennelle de ne plus jamais boire de vin...rouge !
La deuxième grande crise familiale eu lieu huit ans plus tard, au retour d' Anne-ama d'un long voyage d'étude en Asie. Celle-ci rentrant fortes d'une dizaine de nouvelles techniques et de magnifiques photos souvenirs, fut accueillit par une "nouvelle FORMIDABLE": ses parents avaient rencontré un jeune homme tout à fait charmant, si charmant qu'ils le voyaient bien comme gendre et que ... les fiançailles étaient prévue pour le mois suivant. La bataille qui s'en suivit fut atroce, un océan d'injures fut déversé, tout la force, l'habilité et la perfidie des deux parties se déchaîna, jusqu'à l'intervention du futur époux.
Lorsque le regard de la jeune femme et celui du bel elfe sylvestre se croisèrent, la salle tomba dans un silence profond. Soudain un convoi d'anges se mit à chanter en cœur, formant une véritable fanfare céleste pendant que des petites lucioles faisaient briller la pièce de milles feux. Tout ceci se produisit, bien évidement, exclusivement dans la tête des deux concernés. La cérémonie fut avancé à la semaine suivante.
Aujourd'hui nos deux tourtereaux vivent dans une petite maison non loin de l'académie où ils élèvent tranquillement leur fille, Maria. Lorsque elle était tombé enceinte de celle-ci Anne-Amaryllis avait brièvement songé à se retirer comme mère au foyer, mais après six mois d' inactivité forcé, cette résolution fut balayé comme un fétus de paille. Sitôt Maria née sa mère était à genoux devant le directeur de l'académie, le suppliant de lui donner un emploi. Son mari, quant à lui, ne fit pas une seul remarque à ce sujet, il savait que c'était déjà un miracle qu'elle n'ai pas continué ses entraînements quotidiens pendant sa grosses.